Togo-Justice : Un homme condamné à 5 ans de prison pour pédophilie
L’homme dont l’âge n’a pas été révélé a été condamné à 5 de réclusion criminelle. Il doit aussi verser une somme de 65 mille FCFA en guise de dommages et intérêts.
L’homme dont l’âge n’a pas été révélé a été condamné à 5 de réclusion criminelle. Il doit aussi verser une somme de 65 mille FCFA en guise de dommages et intérêts.
Ce mardi 22 juin, des policiers sont allés dans la nuit chez Mohamed Ould Abdel Aziz, l’ancien président mauritanien pour l’arrêter dans le cadre d’une affaire de corruption et placé en détention.
En Afrique, une demi-dizaine de pays ont pris la courageuse décision de geler les avoirs bancaires de l’homme d’affaires français en raison d’une procédure judiciaire…
La Cour suprême a tranché, autorisant, malgré les nombreuses critiques, l’organisation de la Copa America sur le sol brésilien. Elle démarre le dimanche 13 juin prochain.
Alors qu’elle a été saisie pour annuler la décision de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) et du tribunal retirant le récépissé à l’hebdomadaire ‘’L’Indépendant Express’’, la Cour suprême a bien tranché depuis mars dernier mais tarde à informer la défense.
« Boy Djinné », pour les uns, Baye Modou Fall, à l’état civil, a été interpellé ce jeudi 3 juin à une trentaine de kilomètres de Tambacounda, une localité située à l’est du Sénégal, après qu’il a réussi de nouveau à fuir la prison.
Ils sont trois présumés trafiquants à être interpellés le 28 mai dernier en possession de huit défenses d’éléphants et transférés à la prison civile de la ville de Kara trois jours plus tard.
À en croire ce qui est écrit sur les réseaux sociaux et nous parvient, le mardi 18 mai 2021 sera le jugement de Djimon Oré pour avoir courageusement et avec bravoure osé dénoncer la politique africaine de la France ainsi que sa comparaison « audacieuse » de la situation du Togo à celle du génocide rwandais de 1994 dont la France est le complice actif avec sa folie de grandeur dans le continent africain.
Le Secrétaire général de l’ANC, le parti au pouvoir en Afrique du Sud, mis à l’égard pour des affaires de corruption, a saisi la justice pour contester cette décision qu’il juge non fondée.
La chambre répressive de la Cour de cassation condamne à trois ans de prison Willy Bakonga, un ex-ministre en charge de l’Enseignement. Le verdict a été prononcé dans la nuit de jeudi à vendredi.