Tchad-Un policier blessé au cours d’une manifestation
Un policier déployé pour encadrer la manifestation a été blessé par l’explosion d’une grenade lacrymogène qui est tombée par inadvertance de sa main dans le véhicule dans lequel il se trouvait.
Un policier déployé pour encadrer la manifestation a été blessé par l’explosion d’une grenade lacrymogène qui est tombée par inadvertance de sa main dans le véhicule dans lequel il se trouvait.
Les hommes inconnus, selon des journaux locaux en ligne, ont tiré sur lui. Le journaliste est blessé à la tête et à la jambe. Ses agresseurs sont repartis sans rien emporté.
Des témoignages de la famille de la victime, le couple qui a eu trois enfants a divorcé il y a plusieurs années déjà. « L’homme a même repris sa dot », a déclaré le grand-père de la victime âgée d’une trentaine d’années. On ignore les raisons de cet assassinat.
La jeune fille, selon le journal en ligne tchadien, a été tuée par son père en complicité avec ses deux fils. Il s’agirait d’un crime d’honneur.
Initialement, les pourparlers inclusifs entres acteurs de la vie sociopolitique tchadienne sont annoncés démarrer le 15 février prochain. Mais ils ne débuteront pas à cette date. Ils sont repoussés au 10 mai 2022. Voici la raison officielle de ce report.
Le drame, selon cette source, s’est produit ce 1er janvier 2021 entre Kourlalou et Mouray.
Arrêté à N’Djamena, la capitale du pays, la gendarmerie nationale a indiqué qu’il aurait tenté de vendre sa femme à un ressortissant nigérian.
Ses intentions étaient claires : en finir avec un certain Haroun Hissein Saboun, un élève dudit lycée avec qui il aurait eu une dispute au quartier.
L’homme en question se trouve être un gendarme déserteur vivant dans une chambre dans la maison familiale.
Dans la foulée, des étudiants sont descendus dans la rue ce mardi matin exigeant la réhabilitation de leurs camarades exclus, réclamant de meilleures conditions d’études, à en croire Alwihda Info.