Le confrère Anani Sossou déplore qu’un certain nombre de langage soient utilisés à l’égard des victimes du marché d’Agoè-Assiyéyé. Il le regrette dans ce posting consultable sur sa page facebook.
« Certains propos tenus aux victimes de l’incendie du marché d’Agoè-Assiyéyé par certains responsables sont à proscrire. Cela ne soulage en rien la souffrance des commerçants ni ne démontre la compassion qui devrait être de mise. Parler de Dieu (Mawu lawoè), de fief, de période électorale pour des gens en détresse est malvenu.
Le président Faure Essozimna Gnassingbé a pris la juste mesure de ce douloureux événement en recevant les représentants du marché et en donnant des instructions au gouvernement et à la municipalité de veiller à ce qu’un accompagnement urgent soit apporté à ceux et celles qui ont tout perdu dans l’incendie.
Dans certaines circonstances les éléments de langage sont importants. Il ne faut pas tous les jours chercher à ramener midi à sa porte. Les compétences en communication sont nombreuses dans notre pays. Faites-vous le devoir de les mettre à vos côtés.
J’ai encore dit… »
Anani Sossou