Lors d’une rencontre ce mardi à Lomé avec les organisations professionnelles et les syndicats des hommes des médias, le ministre de la Communication et des Médias, Akodah Ayewouadan a laissé entendre qu’il est déterminé à protéger la liberté de presse au Togo.
« Nous sommes déterminés à protéger la liberté de presse, qui est un pilier fondamental de notre démocratie. Nous encourageons les professionnels de la presse à continuer à jouer leur rôle d’information dans le respect de la déontologie de la profession. Nous sommes ouverts aux propositions et suggestions pour renforcer la protection de la liberté de presse », a indiqué le ministre devant les responsables d’organisations professionnelles de la presse au Togo.
Si l’on se fie à cette déclaration du Prof. Akodah Ayewouadan, on pourrait croire que le régime en place est réellement préoccupé par le malheur qui frappe la presse togolaise, celle critique surtout. Mais les derniers évènements que tout le monde connait déjà, montrent le contraire.
Les lourdes sentences prononcées contre les journalistes d’investigation Ferdinand Ayité, Joël Egah (décédé) et Isidore Kouwonou dans l’affaire les opposant aux deux ministres-pasteurs (sic) du gouvernement togolais, ont montré à suffisance, une fois de plus, que la liberté de presse est le cadet des soucis du régime togolais.
En effet depuis quelques années, une guerre a été déclarée à la presse critique qui devient une espèce rare dans le paysage médiatique togolais. Si ce n’est pas la HAAC (l’institution censée protéger la presse) qui joue le gendarme dernière ces médias en les suspendant, c’est la justice qui s’en charge en condamnant les journalistes à des peines de prison ferme. La situation est telle que sur le plan international, le pays recule considérablement dans les classements sur la liberté de la presse.
Il est encore mieux d’avaler les belles paroles d’un arracheur de dents que de croire que le gouvernement togolais est déterminé à protéger la liberté de presse.
Akodah Ayewouadan et son gouvernement de bras cassés sont déterminés a écraser la presse au Togo. Ça, c’est un fait!
La presse, la population, les militaires et les partis politiques sont obligés de garder le silence a Faure-Kopé.
Encore un autre enseignant taré qui a échangé ses vêtements pour un costume de ministre-alimentaire. Va te faire foutre, petit truand.
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