« La corruption est le 2ème sport le plus pratiqué au Togo, après le football », déclarait le Président de la Cour suprême, Abdoulaye Yaya, lors de la prestation de serment du nouveau président de la Haute Autorité de Prévention et de Lutte contre la Corruption et les Infractions Assimilées (HAPLUCIA). Ce « sport » s’enracine à telle enseigne que même des cas avérés et avoués de corruption comme celui du Français Vincent Bolloré n’entraine aucune suite judiciaire au Togo.
Une procédure judiciaire est ouverte depuis 2013 en France contre le Groupe Bolloré et ses dirigeants pour corruption d’agent public étranger. Concrètement, il est reproché à Vincent Bolloré d’avoir utilisé les activités de conseil politique de sa filiale Euro RSCG pour décrocher frauduleusement la gestion du port de Lomé au bénéfice d’une autre de ses filiales.
Ces faits seront reconnus plus tard en février 2021 par Vincent Bolloré lui-même qui, lors d’une comparution de reconnaissance préalable de culpabilité, avait négocié avec le parquet pour payer une amende de 375.000 euros.
Ce mardi 21 Mars 2023, la Cour d’appel de Paris a annulé le document portant reconnaissance préalable de culpabilité pour confirmer la mise en examen de Vincent Bolloré qui va devoir passer en jugement devant un tribunal indépendant et impartial pour corruption.
En dépit de cette procédure se déroulant en France et confirmant qu’il y a eu corruption au Togo, les autorités judiciaires togolaises ne se meuvent aucunement. Si Vincent Bolloré a pu corrompre au Togo, c’est certainement qu’il y a des corrompus. Il y a sans doute des individus qui ont bénéficié de richesses indues. Qui sont-ils ? Où sont-ils ? Pourquoi ne sont-ils pas inquiétés ?
A cette allure, le Président de la Cour Suprême du Togo va devoir revoir son classement à l’avenir car la corruption est en passe de ravir la première place au football.
Dans d’autres pays si un citoyen ou journaliste fait une révélation sur une corruption le procureur ouvre une enquête au GONDWANA c’est le journaliste qui va en prison
Au GONDWANAMO (Le Togo des analphabètes GNASSINGBE), le procureur ne peut pas ouvrir une enquête sur un fait de corruption révélé par un journaliste, puisque ce procureur lui-même fait partie de la combine. Plus corrompu que le système judiciaire du Togo, il n’y a pas au monde !!!
Rien ne ressemble à la vérité à Kotocopé.
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