L’acteur culturel Ghanéen Van Calebs a déploré avoir vécu une expérience infernale après avoir co-organisé un grand événement avec une femme Togolaise le 16 Décembre dernier dans la capitale du Togo.
Un spectacle, surnommé «Black Friday», a été organisé pour offrir aux Togolais un excellent divertissement à travers la musique, la mode et le sport.
Avec une foule d’artistes ghanéens et togolais alignés pour l’événement, les attentes et la confiance étaient élevées au sein du camp de Van Calebs. L’équipe était également optimiste sur le fait que le centre d’événements du Palais des Congrès de Lomé allait être complètement rempli.
Mais malgré la présence de célébrités ghanéennes comme l’acteur Van Vicker, Prince David Osei, le hitmakeur de «One corner», Patapaa, Chief One, Jah Phinga et une foule d’artistes et d’animateurs togolais de premier plan, « l’auditorium était presque vide ». M. Van a exprimé sa déception, qualifiant la situation de “la pire journée de sa vie”.
Qui est Van Calebs ?
Né le 22 février 1991 à Dzorwulu (Ghana), Van Calebs est renommé pour son art de la danse à travers l’Afrique. Ce danseur a poursuivi ses études à l’Université internationale du Wisconsin et au collège Adisadel, respectivement.
Il est l’un des trois fils d’un avocat notable, passionné par l’expression corporelle du comportement humain. Après un certain temps passé dans le sud du pays voisin du Togo, sa famille s’est établie en 1990 à Accra, la capitale, où il a découvert le rythme de la mer et s’est familiarisé avec l’art ghanéen, des influences qui se sont manifestées dans sa chorégraphie tout au long de sa carrière. Au cours d’une carrière de plus de 8 ans, Van a créé une série de danses, allant de solos à des créations de grande envergure de programmes complets, tels que “Base” (2018).
Pour ses thèmes, il s’est presque toujours tourné vers les conflits et les émotions humaines. Les décors et les époques varient, mais sa vaste galerie de portraits dansés n’a jamais manqué d’explorer la vie émotionnelle intérieure de ses personnages. Il a créé certaines danses d’Afrique, mais surtout de la vie frontalière au Ghana, la plus célèbre étant la danse de l’illuminati de Sarkodie.Van a développé une technique de danse qui est devenue la première alternative significative à la danse culturelle traditionnelle au Ghana.
Il a contribué à raviver l’essence culturelle grâce à sa technique et aux mouvements qu’il a développés dans sa chorégraphie. Son langage corporel visait à exprimer des émotions et des expériences humaines partagées, plutôt que de simplement offrir des présentations décoratives de mouvements gracieux. Ses danses étaient également conçues pour susciter une réponse viscérale chez le public plutôt que d’être comprises principalement en termes linéaires ou picturaux. Beaucoup de ses danses comportaient des mouvements puissants et angulaires résultant de spasmes de contraction musculaire et de relâchement centrés sur le bassin du danseur.
Le togolais a des chats plus importants à fouetter que d’aller au concert se divertir.
La vue est très dure au Togo des analphabètes et bouffeurs de chien GNASSINGBE !!! Les togolais tirent le diable par la queue et n’ont clairement pas la tête à la fête !!!