Malgré la stabilité qu’on observe, des cas de l’épidémie Covid-19 se font enregistrés dans le pays. L’Université de Lomé se fait le devoir de mener une campagne pour appeler les populations à la vaccination.
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Togo-Harcèlements sexuels dans les hôpitaux : L’ASSVITO interpelle Mme Victoire Dogbé
Ce n’est plus un secret, la gente féminine du secteur sanitaire au Togo est davantage exposée aux harcèlements sous toutes ses formes. Un phénomène qui inquiète diverses organisations de la société civile et contre lequel, le Syndicat National des Praticiens Hospitaliers du Togo (SYNPHOT) se fait lanceur d’alerte auprès de l’opinion nationale. L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) pour sa part, interpelle les autorités du pays à l’instar de Madame le Premier ministre, Victoire Tomegah Dogbé “à prendre des mesures urgentes pour accompagner la lutte contre toutes les formes de harcèlement Sexuel”.
Un comité de veille contre les actes inciviques à la commune Agoè-Nyivé 1
Contre les actes inciviques, le conseil municipal d’Agoè-Nyivé 1 se prépare à la création d’un comité de veille.
Togo, un pays qui s’étouffe
Le cas Togo dont seulement 8 % de la population sont couvertes depuis 2012 inquiète à plusieurs niveaux à partir du décret N°2023-096/PR en date du 4 octobre 2023 fixant les taux, montants et modalités de recouvrement dues au titre de l’AMU. Pour l’essentiel, on retient que qu’à compter du 1/1/2024, les cotisations sociales à la CNSS, passent de 21,5% à 31,5%, soit 10% supplémentaire pour l’assurance maladie universelle obligatoire. L’employé supportera 9% et l’employeur 22,5%. Autrement dit, les 10% de l’AMU sont supportés à part égale par l’employé et l’employeur. Dans les détails, les charges sociales pour l’employeur qui étaient de 17,5% passent à 22,5 % soit une augmentation de 5% pour l’AMU et l’employé passe de 4% à 9 % soit 5% de plus pour l’AMU.
