La Chronique : Comment remplacer le blé russe et ukrainien en Afrique ?

Quelle humiliation pour l’Afrique qui possède plus de 60% des terres arables de la planète mais qui dépend pour l’essentiel de ce qu’elle consomme des autres continents.

Il a suffit d’une guerre entre 2 Etats à des dizaines de milliers de kilomètres d’elle (Russie, Ukraine) pour qu’elle soit fortement menacée de graves crises alimentaires, avec une flambée des prix inédites.

Le Président de l’Union africaine s’est trouvé contraint d’aller négocier notre approvisionnement en blé. Quel spectacle ! Maintenant que l’on sait que le concept d’aide ne développe pas un pays, et que le soutien aux nations est à géométrie variable, comment met-on un terme, ou diminue t’on, la dépendance de l’Afrique aux denrées alimentaires venus d’ailleurs ?

2 thoughts on “La Chronique : Comment remplacer le blé russe et ukrainien en Afrique ?

  1. Hotep
    Personnellement j’ai arrêté de consommer du pain de blé, du riz asiatique, de la volaille importée ou encore d’acheter des vêtements importés.

    1. Ceci est faisable si on vit en campagne dans un pays où l’on peut cultiver certains produits de base et se procurer de la viande ou de la volaille provenant de l’élevage local. Tel n’est pas malheureusement le cas pour tout le monde dans tous les pays.

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