Togo-Les activités commerciales aux abords des écoles interdites

Il n’est plus toléré de faire des activités économiques dans les espaces proches situés tout autour des établissements scolaires. C’est une décision du ministre de tutelle.

Dans une circulaire signée ce 6 avril 2022, Prof Dodzi Komla Kokoroko, ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat interdit que les activités commerciales se déroulent tout autour des écoles.

« Aussi voit-on les enceintes de ces structures scolaires entourées ou occupées par des conteneurs, hangars de fortune et autres installations commerciales, constituant de fait une véritable entrave aux missions dévolues aux établissements scolaires », déplore Prof Dodzi Komla Kokoroko.

Les directeurs et chefs d’établissement sont priés de prendre toutes les dispositions pour faire respecter cette note circulaire. « Je demande aux directeurs régionaux de l’éducation, aux chefs d’inspection et aux chefs d’établissement, de prendre, chacun en ce qui le concerne, les dispositions idoines pour faire libérer les enceintes et les abords immédiats des établissements scolaires de ces installations commerciales qui nuisent aux activités pédagogiques », insiste celui qui est également le président de l’Université de Lomé.

0 thoughts on “Togo-Les activités commerciales aux abords des écoles interdites

  1. Ce monsieur, a-t-il déjà installé déjà des cantines dans les établissements scolaires?
    Aussi oublient-ils que l’Afrique est dans l’économie informelle et du moment où nous ne sommes pas arrivés à un niveau de développement élevé, l’interdiction de cette petite commerce à nos femmes est un signe d’incompétence du Ministre et aussi un crime contre l’économie togolaise?

    1. Donc les élèves ne peuvent plus manger ayimolou dans la cour d’école pendant la récréation ??? Tous les établissements scolaires du Togo ont une cantine alors??? Non mais, ce Kokoroko doit descendre sur terre!!!

      1. Ce Kokoroko inquiète sérieusement. On est en droit de se demander s’il dispose encore de toutes ses facultés mentales.

  2. Ils nous ont sorti encore une autre loi-bidon, a croire que les gens dans ce pays marchent sur la tete. De quoi les eleves vont se nourrir? Leur enfants qui frequentent des ecoles privees ont a manger dans les cantinea scolaires et les autres

  3. Il ne suffit pas juste de prendre des décisions qui ont des conséquences sur la vie des gens mais de mieux les prendre. est ce que le ministricule a pensé que sa decision peut mettre des femmes et des hoimmes dans la précarité? est ce qu’il a pensé offrir une autre solution à ces victimes? Est ce qu’il a consulté ses collègues du ministrere du commerce et PME et autres pour trouver d’autres solutions avant de renvoyer des gens dont toute une famille depend? C’est dommage que des parvenus pour zèle prennent des décisions qui detruisent la vie des citoyens alorts qu’ils sont ministres pour trouver des solutions et aider les togolais. Vivement que les togolais sortent de leur torpeur et chassent cette bande de nuls et voleurs.

  4. Ce monsieur n’est totalement dingue. Il me rappelle une histoire que j’aie lue ou entendue quelque part. Le demon (pardon Eyademon) parait-il, avait demande a Ernest de dirige la ville de Kara pour s’assurer qu’il pouvait gouverner le Togo en cas succesion. Et le fils avait prouve au pere qu’il etait en mesure de la tache a commettant des crimes odieux dans la ville pendant des annes.
    J’ai aussi entendu ou lu que Koroko serait un potentiel candidat apres faure la famille ne pourrait plus maintenir le pouvoir. Que l’une ou l’autre de ces deux histoires soit vraie ou pas, je enclin de croire que Ce Koroko a l’air de jouer l’un des roles des deux histoires. Je ne vois pas quel autre motif soutend ces conneries.
    La n’est meme pas la question. Elle est de savoir a quand le peuple togolais va se permettre de subir cet otage? Nous avons besoin de 500.000 Togolais pour renverser se regime, car l’alinea 3 de l’article 4 de la Constitution Togolaise declare ce:

    “Un référendum d’initiative populaire peut être organisé sur la demande

    d’au moins cinq cent mille (500.000) électeurs représentant plus de la

    moitié des préfectures. Plus de cinquante mille (50.000) d’entre eux ne

    doivent pas être inscrits sur les listes électorales d’une même préfecture.

    La demande devra porter sur un même texte. Sa régularité sera

    appréciée par la Cour constitutionnelle”

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *