Le ministre des Enseignements primaire, secondaire et technique, Dodzi Komla Kokoroko est contre la vente illicite et forcée des documents dans les établissements scolaires.
Selon le constat établi par l’autorité, ce sont des chefs d’établissements, des enseignants titulaires de classe et même des majors de classe, poussés par l’intérêt personnel et le gain facile, qui se livrent à ces pratiques.
En tout cas, plus question de vendre des documents aux élèves dans les établissements, sans l’autorisation ‘préalable’ de Prof. Kokoroko.
« Certains vont jusqu’aux injonctions et menaces pour faire plier les élèves et parents d’élèves à l’achat de leurs documents », a déploré le ministre dans une note de service en date du mardi 1er mars 2022.
« Au moment où mon département s’est engagé pour l’atteinte des objectifs définis dans la feuille de route gouvernementale 2020-2025, des pratiques malhonnêtes et inappropriées qui entravent notre marche éclairée vers l’éducation universelle équitable et inclusive, ne sauraient être tolérées », a-t-il ajouté.
Les directeurs généraux, chefs d’inspection et inspecteurs de l’éducation nationale sont tenus de mettre fin à ces pratiques.
Une administration ne se gere pas comme une propriete privee. Il faut deleguer des responsabilites aux autres et surtout prendre des decisions sur consultation d equipes. On dirait Kokoroko et le maire Johnbri pennent des decisions selon ce que leur femmes leur disent la nuit ou ce qui s est passe dans leur reve la nuit. C’est pas au ministre lui meme d aprouver les ventes de documents. Il se prend plus intelligent que tous alors qu’on sait bien comment il a obtenu ses diplomes